LA MAISON AU MOYEN   ÂGE
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Groupe de travail

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RÉPERTOIRE GÉOGRAPHIQUE
FRANCE ~
DORDOGNE

Introduction   Inventaire   Bibliographie   Liste des sites


INVENTAIRE DES ÉDIFICES DOMESTIQUES ROMANS ET GOTHIQUES DES XIIe, XIIIe ET XIVe SIÈCLES DANS LE PÉRIGORD.

par Pierre GARRIGOU GRANDCHAMP
août 2000

 

Introduction

Principes retenus pour l’inventaire

Cet inventaire comprend une bibliographie et une liste de tous les édifices domestiques urbains des XIe, XIIe, XIIIe et XIVe siècles, repérés à la date du 1.9.2000. Par domestique, on entend toute construction ayant pu avoir une fonction de logis, au moins temporaire ; par le qualificatif d’urbain, on désigne tous les bâtiments concernés répertoriés dans les villes, les bourgs castraux et abbatiaux, les bastides, et parfois de minuscules établissements humains, pourvus que les édifices considérés répondent à un standard minimal. Les limites en sont floues, mais les constructions castrales ont été exclues du répertoire, sauf quand elles étaient insérées dans un bourg (Agonac, Berbiguières, Beynac, Biron, Bourdeilles, Carlux, Excideuil, Molières, Plazac, Salignac), de même que la plupart des résidences seigneuriales répondant au type du " manoir " ; quelques exemples en ont néanmoins été inclus dans notre liste à titre de comparaison, notamment parce qu’ils étaient construits dans ou à proximité d’une agglomération (Beynac, Le Buisson, Mareuil, Paussac, Sarlat, Terrasson). De même, la plupart des demeures " chevaleresques " identifiées dans des castra ont été retenues, mais la liste est loin d’en être complète.

Une méthode extensive

En tout état de cause, ce premier inventaire est très incomplet et très imparfait. Toute prospection dans une agglomération révèle de nouveaux édifices de la période ; des villes comme Périgueux ou Sarlat, et la plupart des bastides, demanderaient des compléments d’inventaire attentifs, n’hésitant pas à pratiquer la microtopographie ; par ailleurs, au regard de la masse des édifices ici répertoriés, peu d’entre eux ont été visités : néanmoins, un peu plus de 10% des intérieurs ont été étudiés, ce qui constitue un échantillon représentatif dans les agglomérations de Beaumont-du-Périgord, Périgueux et Sarlat. Il reste que la plupart n’ont fait l’objet que d’un repérage extérieur ; nul doute que des visites systématiques des constructions d’apparence tardive révèleraient d’autres maisons médiévales, et aussi des dispositions internes, encore bien mal connues (distributions et systèmes de circulation ; charpentes et couvrements, plafonds et voûtes; fréquence des équipements, notamment des latrines et des cheminées ; décors peints ; fréquence de la construction mixte en pierre et bois, etc…). En outre, l’analyse récente de plusieurs " châteaux " a montré que beaucoup de sites qui paraissent unitaires sont en fait le fruit d’une unification tardive entre des mains uniques de co-seigneuries dont les sièges originels subsistent partiellement, sous la forme de demeures plus ou moins incluses dans les enceintes : ainsi d’Excideuil, de Périgueux (Cité) et de Comarque, à Sireuil (REMY et SERAPHIN 1999 ; SERAPHIN 1999), mais aussi de Berbiguières, Beynac, Biron, Carlux, Grignols, Salignac et Vieux Domme.

Enfin, très peu de bâtiments ont bénéficié de relevés architecturaux poussés (1); l’analyse en est donc le plus souvent restée à un constat préliminaire. C’est dire l’œuvre considérable qui reste à entreprendre. Ce travail n’est donc en rien achevé, il pose les bases de recherches plus amples et plus denses.

Bilan provisoire

Le terrain se prêtait particulièrement à une telle entreprise. La Dordogne est indéniablement un des départements les plus riches de France en édifices domestiques des XIIe-XIVe s. Sous réserve des résultats des prospections futures, il vient probablement au 2e rang, après le Lot et devant l’Hérault, le Tarn-et-Garonne et la Saône-et-Loire. A cette heure, ce ne sont pas moins de 570 édifices qui ont été répertoriés (2), dont plus de 100 à Périgueux et près de 80 à Sarlat, plus de 150 dans 6 bastides (Beaumont, Domme, Eymet, Molières, Monpazier et Villefranche) et 240 dans les autres agglomérations ; les " villages de chevaliers ", les moins bien prospectés, regroupent néanmoins déjà au moins une soixantaine de logis aristocratiques, satellites des demeures des seigneurs dominants.

Au total, 58 sites conservent encore au moins une maison, dont 14 entre 5 et 10 (3), et 12 plus de 10 (4). Ce grand nombre de sites est particulièrement remarquable ; dans certaines zones, comme le Périgord noir, la densité en est particulièrement élevée et le phénomène concerne tous les types d’établissements humains. La diffusion de l’architecture en maçonnerie de pierres, le plus souvent liées à la chaux, et en général avec parties en pierres de taille, fut donc massive. Une pareille abondance reste exceptionnelle ; en l’état des inventaires menés en France, on ne peut lui comparer que certaines zones du Quercy, du Languedoc méditerranéen et de la Bourgogne (Auxois et Clunisois - Mâconnais).

Situation de la recherche

En dépit d’une pareille abondance, les recherches n’ont pas été légion. Elles avaient pourtant commencé tôt et trouvé en monsieur de Mourcin et Félix de Verneilh de brillants précurseurs (MOURCIN 1826 et VERNEILH 1846, 1847 et 1851). Ces défricheurs attirèrent l’attention des pères fondateurs de l’archéologie monumentale, et surtout de Verdier, qui choisit deux maisons du Périgord pour illustrer les types des demeures romanes (Périgueux, 4-6, rue des Farges) et gothiques (Sarlat, " hôtel Plamon ") (VERDIER et CATTOIS 1858) ; ils furent également cités ou imités par Viollet-le-Duc et Enlart, comme par des chercheurs britanniques, Turner et Parker, en attendant Wood. Puis, pendant près d’un siècle, la recherche s’assoupit, là comme ailleurs ; deux exceptions, les articles de G. Bussière (BUSSIERE 1878), Jules de Verneilh (VERNEILH 1878, 1890 et 1891) et des marquis d’Abzac et de Fayolle (ABZAC 1884 ; FAYOLLE 1884), et surtout la somme qu’un professeur de médecine consacra à Beaumont (TESTUT 1920).

La renaissance des études consacrées à l’architecture domestique fut fort brillamment illustrée par un nouveau précurseur, qui livra au début des années 1970 les inventaires des villes de Bergerac, Eymet et Issigeac, et de nombreuses monographies (FRAY 1971). A la même époque, un étude pionnière, en vue du secteur sauvegardé de Périgueux, cartographiait tous les édifices du Puy Saint Front (FROIDEVAUX et alii 1971), tandis que la restauration de " l’hôtel Plamon " illustrait la remise en valeur du patrimoine de Sarlat (FROIDEVAUX 1970). Quelques contributions plus restreintes témoignaient alors également de ce regain d’intérêt : note sur les édifices romans de Coulounieix (DESHOULIERES 1944), courte monographie d’une maison de Trémolat ou aperçu sur les caves de la place de la Clautre à Périgueux (PONCEAU 1967 et 1969), brève note sur une maison romane (DESBARATS 1965). Albert Laprade et Jean Secret, quant à eux, livraient une glane de précieuses informations (LAPRADE 1971 ; SECRET 1988).

Les historiens ne comblèrent que tardivement la carence des archéologues ; signalons néanmoins une contribution capitale à la connaissance d’un intérieur de riche bourgeois périgordin en 1428 (VILLEPELET 1907) et une solide étude sur le régime juridique interne des bastides du Périgord (VIGIE 1907).

C’est à A. Higounet-Nadal que la recherche est redevable de contributions fondamentales, traitant de la topographie et de l’urbanisme médiéval de Périgueux (HIGOUNET 19782; HIGOUNET-NADAL 1978 et 1984), ainsi qu’à celle de l’arrière-plan social (HIGOUNET-NADAL 1975 et 19842) ; grâce à l’éminente historienne, plusieurs édifices ont en outre été localisés ou leurs fonctions élucidées (" salle du comte ", " maison du Vigier ", " maison des Templiers d’Andrivaux - 4-6, rue des Farges ": HIGOUNET-NADAL 1968, 1969 et 1988). Elle a été dignement continuée par B. Fournioux qui a livré d’importantes études sur le paysage de la Cité de Périgueux (FOURNIOUX 1993 et 19932). Dans le même temps, Jean Lartigaut posait les bases de l’étude du castrum de Comarque et Yann Laborie, celle de l’urbanisme de Bergerac (LARTIGAUT 1986 et LABORIE 1984).

Dans la foulée d’une étude générale et très fournie sur l’urbanisme et l’architecture des bastides (LAURET et alii 1988), les études sur l’architecture civile se sont brusquement accéléré au début des années 1990 : une recherche universitaire a conduit à un pré-inventaire partiel de l’habitat médiéval de Périgueux, suivi de la publication des quatre premières monographies de demeures romanes du Périgord (DOTTE-MESPOULEDE 1990 et 1992).

Les études en vue de mesures de protection ont également apporté leur contribution, notamment grâce aux remarquables mises au point de Gilles Séraphin sur Belvès et Terrasson (SERAPHIN 1989 et 1992), qui proposent des synthèses, nourries des approches combinées de l’histoire, de l’urbanisme et de l’archéologie monumentale ; sur un autre registre, le travail d’A. de La Ville livre un solide pré-inventaire de Brantôme (LA VILLE 1993). C. et D. Drijski ont fait de même, à une autre échelle, pour Monpazier, en tentant également une première typologie de l’habitat (DRIJSKI 1994).

L’apport des fouilles archéologiques est encore peu abondant, mais de qualité: Yann Laborie a révélé les modestes maisons romanes du castrum d’Auberoche (commune du Change), ainsi que les petites maisons romanes et les grands oustaux de Bergerac (LABORIE 1990 et 1996). Tout récemment, J. Pons a pratiqué de nombreux sondages à Monpazier qui ont livré de nombreux renseignements sur les techniques de construction et le parti des maisons à couverts de la place et sur plusieurs édifices détruits (PONS 1997)

Parmi les études les plus novatrices, il faut faire une place à part à celles qu’à conduites Gilles Séraphin sur deux castra, Comarque (commune de Sireuil) et Excideuil (SERAPHIN 1995 et 1999 ; SERAPHIN et REMY 1999) : elles ont renouvelé la compréhension des sites abritant plusieurs co-seigneuries et les demeures de nombreux milites castri.

Nous achèverons cette revue par un bref commentaire sur nos propres contributions ; mis sur la voie par B. et G. Delluc (DELLUC 1984), nous avons pu proposer la restitution d’un grand édifice roman palatial à Périgueux, dit " Grenier de Saint Front "(GARRIGOU GRANDCHAMP 1994). Puis, 3 articles ont tendu à donner un inventaire et une analyse des types et des programmes de l’architecture romane du Périgord, et particulièrement de Périgueux (GARRIGOU GRANDCHAMP 19951, 19952 et 1997). Le Congrès archéologique de 1998 a été l’occasion d’une entreprise comparables pour les édifices gothiques des XIIIe et XIVe siècles, comprenant également une monographie de " l’hôtel Plamon ", à Sarlat (GARRIGOU GRANDCHAMP 1999, 19992 et 19993). Enfin, dans les colonnes du BSHAP nous sommes revenu sur l’architecture de transition entre les styles rayonnant et flamboyant, vers 1400 (GARRIGOU GRANDCHAMP 19994) et nous avons par ailleurs proposé les monographies de deux édifices, une maison à couvert de Villefranche-du-Périgord et une maison de Sarlat (GARRIGOU GRANDCHAMP 2000 et 20002).

 

NB : presque toutes les maisons citées dans le répertoire figurant dans nos articles ci-dessus, nous ne porterons en bibliographie de chaque édifice que les références des articles lui consacrant des développements conséquents.

 

Programmes et types

Une des richesses de l’architecture civile médiévale du Périgord est d’offrir une gamme très vaste des programmes et des types illustrés par l’habitat. A cet égard également, le patrimoine de la Dordogne est un des plus variés et des plus remarquables de toute la France.

Les demeures conservées les plus nombreuses sont des maisons polyvalentes ; ce sont, par essence, des édifices urbains qui répondent aux fonctions résidentielles dans le ou les étage(s) et aux activités de production et d’échanges, avant tout dans leurs rez-de-chaussée, largement ouverts sur la voie publique. La plupart appartiennent au type de la maison bloc, à un seul corps de logis, perpendiculaire à la rue et comptant un étage ; elles sont rarement mitoyennes, du moins lors de leur construction, et sont séparées par d’étroits espaces, ou entremis : peu praticables, ceux-ci ne sont pas destinés aux circulations, mais séparent nettement les propriétés et accueillent les rejets des eaux usées (éviers), voir les excréments (latrines). Les exemples en sont innombrables dans les bastides, mais aussi à Sarlat ; ils ont souvent été absorbés lors des reconstructions et sont plus difficiles à identifier au cœur des cités denses et anciennes comme Périgueux.

Une variante du type de la maison bloc comprend un avant-solier ou couvert, en encorbellement au-dessus de l’espace public, toujours sur la place. La quasi totalité de ces maisons se trouve aussi dans les bastides (exemple isolé à Paunat). La dénivellation entre avant et arrière de la maison, forte sur beaucoup de sites, conduit souvent à aménager à l’arrière un niveau supplémentaire, plus bas que le rez-de-chaussée qui regarde la rue principale.

Le programme de la maison polyvalente est également illustré par des édifices plus développés, à plusieurs étages et de grande taille (Belvès, Bergerac) et surtout par des demeures à plusieurs ailes, avec cour intérieure (Périgueux, Salignac, Sarlat), qui préfigurent l’hôtel, tout en ayant toujours des rez-de-chaussée percés de nombreuses arcades continues

Plusieurs agglomérations conservent (ou conservaient) en outre des demeures qui paraissent n’avoir été que des résidences, car elles sont dépourvues de tout organe d’échanges (arcade, boutique, etc…) et n’entretiennent pas une relation étroite avec la rue. Elles répondent à deux types principaux, la salle (bâtiment allongé, de plan rectangulaire) et la tour (de plan plus ou moins carré), plus rarement à un troisième type plus développé à salle et tour accolées. On trouve des salles à Beynac, Bigaroque, Terrasson (" château de la Nicle "). Les tours étaient nombreuses à Périgueux ; Belvès et Beynac en conservent. Des demeures à salle et tour se voient dans la Cité de Périgueux ; d’autres ont été révélées par des fouilles ou des documents figurés anciens à Bergerac.

L’habitat des castra qui n’ont pas atteint un développement quasi-urbain, comme celui de Belvès, offre beaucoup d’exemples de ces 3 types et au moins trois modes d’implantation des logis, dans l’enceinte du fort ou du cinctus superior (souvent le château actuel) (5). On observe soit un éparpillement des constructions, comme à Comarque et à Saint-Geniès, (sans lien obligatoire avec l’enceinte), soit une disposition en bordure du castrum, avec deux cas de figure : les logis sont parfois inclus dans l’enceinte (postérieure ?), cas de Beynac ou de Biron, ou bien forment un front continu de constructions, constituant l’essentiel de la clôture du castrum (telle est la topographie de Berbiguières et d’Excideuil). Les demeures y sont des salles ou des tours.

Un certain nombre de châteaux et manoirs, ou de " palais – châteaux " urbains ou périurbains complètent le répertoire (cf. les listes p.2); ils ont été sélectionnés pour la qualité de leurs aménagements et de leur décor, qui permet d’utiles compléments. Bien d’autres auraient pu figurer dans l’inventaire, mais on s’est refusé à l’étendre à tous les châteaux conservant de grands logis ou aux manoirs par trop isolés.

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En achevant cette présentation, il nous faut rendre un hommage reconnaissant à Gilles, Séraphin, découvreur infatigable et perspicace, qui partage toujours ses connaissances avec la plus grande générosité. C’est notamment à lui que nous sommes redevable de l’identification de l’habitat chevaleresque dans les castra. Qu’il soit vivement remercié de sa participation si considérable à la diffusion des connaissances sur l’habitat médiéval.

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1. Des relevés satisfaisants n’existent que pour quelques demeures de Belvès (" hôtel de Comarque "), Bergerac (7-9, rue d’Albret ; 8, rue des Fontaines/31, rue des Conférences ; rue Salvine), Beynac (maison n°2 ; " prieuré " d’Abrillac), Biron et Excideuil (maisons de chevaliers), Périgueux (4-6, rue des Changes ; hôtel d’Angoulême), Sarlat (" hôtel Plamon "; maison 8, rue du Siège/rue de Turenne), Sireuil et Villefranche-du-Périgord (maison n°1). Il faut leur ajouter des croquis de maisons de Coulounieix, Issigeac (" maison des Têtes "), Monpazier (" maison du Chapitre "), Périgueux (16 et 25, rue Aubergerie ; 3, rue du Calvaire ; 3 et 5, rue de la Constitution ; 13, rue des Farges ; 3, rue Limogeanne ; 4-6, rue Saint-Roch), Sainte-Croix-de-Beaumont, Sarlat (1, rue de la Salamandre) et Trémolat. Enfin, les relevés de fouilles concernent Bergerac et le Change (Auberoche).

2. Ce sont pour l’essentiel des édifices conservés, mais plusieurs ont disparu et sont connus par des sources écrites ou graphiques (une série de demeures de Périgueux, ainsi que quelques bâtiments isolés, à Agonac, Bergerac, Bourdeilles, Brantôme, Salignac, Thenon) ou, plus rarement, par des fouilles (Bergerac ; Auberoche, commune du Change ; Monpazier).

3. Biron, Bergerac, Beynac, Carlux, Limeuil, Molières, Paunat, Plazac, Saint-Amand-de-Coly, Saint-Cyprien, Saint-Geniès, Sireuil (Comarque), Terrasson et Villefranche.

4. Beaumont, Belvès, Brantôme, Domme, Excideuil, Eymet, Issigeac, Monpazier, Montignac, Périgueux, Salignac et Sarlat.

5. Cette topographie étant restituée à partir des seuls édifices qui ont survécu, elle demandera à être affinée et confirmée au fur et à mesure que l’exploration de ces sites avancera.

 


Bibliographie

 

Abréviations:
BSHAP : Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord.
CAF : Congrès archéologique de France.
SDAP : Service départemental de l’architecture et du patrimoine.
SFA : Société Française d'Archéologie.
19812 : 1981, 2e publication du même auteur dans l’année.

 

ABZAC de la DOUZE 1884. ABZAC de la DOUZE (marquis d’), " Communication sur l’hôtel d’Engolesme ", BSHAP, t. XI, 1884, p. 374-376

AUDIERNE 1851. AUDIERNE (abbé), Le Périgord illustré, guide monumental, statistique, pittoresque et historique de la Dordogne, Périgueux, 1851.

BABELON et REMY 1998. BABELON (J.-P.) et REMY (Ch.), " Les châteaux de Bourdeilles ", CAF Périgord, 1998, (Paris : SFA, 1999), p. 119-142 (importante monographie).

BELLEFOREST 1575. BELLEFOREST (F. de), Cosmographie universelle de tout le monde, Paris, 1575 (première vue du Puy-Saint-Front, avec vue du " Grenier du chapitre ").

BERTHIER 1989. BERTHIER (M.), " Note pour servir à l'histoire de la Barrière à Trémolat ", BSHAP, t. CXVI, 1989, p. 327-330.

BOUDON et SAULNIER 1979. BOUDON (Fr.) et SAULNIER (L.), " Le château de Beynac ", CAF Périgord noir, 1979, p. 288-312.

BUSSIERE 1878. BUSSIERE (G.), " Excursion à Brantôme ", Congrès scientifique de France, 1876 (1878), p. 327-328.

CASTELNAU 1858. CASTELNAU (baron de), " Visite à la léproserie… ", CAF Périgueux - Cambrai, XXVe session, 1858, p. 50-53 (note sur les maisons romanes de Coulounieix).

CHATELAIN 1973. CHATELAIN (A.), Donjons romans des pays de l’Ouest, Paris, 1973 (courtes monographies avec plans et photographies d’Agonac, Baneuil, Belvès, Biron, Castelnaud, Champniers, Comarque, Excideuil, Jayac, Miremont, Périgueux – tour du château Barrière, Plazac, Saint-Geniès, Salignac, Thonac – La Vermondie, Tocane Saint-Apre – tours de Vernode).

DELLUC 1984. DELLUC (Br. et G.), " Une vue du Puy-Saint-Front au milieu du XVIIIe siècle ", BSHAP, t. CXI, 1984, p. 315-325.

DESBARATS 1965. DESBARATS (R.), " Maison rue Notre-Dame à Périgueux ", BSHAP, t. XCII, 1965, p. 177 (note sur la maison 6, rue Notre-Dame).

DESHOULIERES 1944. DESHOULIERES (Fr.), " L’hôpital Charroux ou la prétendue léproserie de Périgueux ", Bulletin monumental, 1944, p. 257-261 (note sur les maisons romanes de Coulounieix).

DOTTE-MESPOULEDE 1990. DOTTE-MESPOULEDE (I.), Etude architecturale de l'habitat médiéval à Périgueux, Mémoire de DEA sous la direction du professeur J. Lacoste, Université de Poitiers, 1990 (inventaire avec brèves descriptions et références bibliographiques).

DOTTE-MESPOULEDE 1992. DOTTE-MESPOULEDE (I.), " Etudes architecturale de quatre maisons romanes de Périgueux ", BSHAP, t. CXIX, 1992, p. 233-264 (études approfondies, historiques et architecturales : maisons " du Vigier ", des " Dames de la Foi " et de l'hôtel d'Angoulême, appelé à tort " château Barrière ", à Périgueux, et maisons romanes de Coulounieix dites, à tort également, " la Maladrerie ". Premières monographies de maisons romanes en Périgord).

DROUYN 1974. DROUYN (L.), Le Périgord vu par Léo Drouyn, Périgueux: Société d'histoire et d'archéologie du Périgord, 1974 (recueil de dessins du milieu du XIXe s.).

DRYJSKI 1994. DRYJSKI (C. et D.), Bastide de Monpazier. Plan de sauvegarde et de mise en valeur. Rapport de présentation, Paris, 1994 (inventaire minutieux et essai de typologie).

DUJARRIC-DESCOMBES 1915. DUJARRIC-DESCOMBES (A), " Quelques notes sur l'évêque Machéco de Prémeaux ", BSHAP, t. XLII, 1915, p. 58-66, 2 planches h.t. (tableau représentant le Puy-Saint-Front, avec vue précise du " Grenier du chapitre ").

ENLART 1929. ENLART (C.), Manuel d'Archéologie française, 2e partie, Architecture civile et militaire, t. 1, Paris,1929 (2e éd.) (p. 112 : Périgueux, maison romane des 4-6, rue des Farges, d’après Verneilh. p. 60, fig. 24 et 63, fig. 27 : Monpazier, " maison du Chapitre ", d'après Verneilh).

FAURE 1999. FAURE (M.-G.), A l’ombre et à la lumière du clocher de Négrondes, Négrondes, 1999.

FAYOLLE 1884. FAYOLLE (marquis G. de), " Peintures murales de l’hôtel de Gamanson ", BSHAP, 1884, t. XI, p. 238-247.

FAYOLLE 1927. FAYOLLE (marquis G. de), " Périgueux, Vésone. La ville romaine, le mur d’enceinte, le château Barrière, les Arènes ", CAF Périgord, 1927, p. 9-27.

FOURNIOUX 1989. FOURNIOUX (B.), " La demeure et le décor intérieur d’un simple chevalier périgordin à la fin du moyen Age (son assise économique) ", BSHAP, t. CXVI, 1989, p. 293-302.

FOURNIOUX 19931. FOURNIOUX (B.), " La Cité de Périgueux à la fin du Moyen Age ", BSHAP, t. CXX, 1993, p. 33-60.

FOURNIOUX 19932. FOURNIOUX (B.), " La Cité de Périgueux à la fin du Moyen Age: l'organisation de l'espace et ses références ", Archéologie médiévale, t. XXIII, 1993, p. 283-303 (cet article et le précédent proposent de remarquables descriptions du paysage urbain de la Cité et de son arrière-plan social du XIe au XIVe s.).

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FRAY 19712. FRAY (F.), " L'habitat urbain médiéval et de type médiéval à Bergerac, Issigeac et Sainte-Foy-la-Grande ", in L'information d'histoire de l'art, 1971, n°4, p. 182-186.

FRAY 1998. FRAY (Fr.), "Bergerac. Maison 31 rue des Conférences et maison 7-9, rue d'Albret", p. 251-260, in ESQUIEU (Y.) et PESEZ (J.-M.) dir., Cent maisons médiévales en France (du XIe au milieu du XVIe siècle). Un corpus et une esquisse, Paris: CNRS, 1998 (solides monographies, très bien illustrées, reprenant l’étude de 1971).

FROIDEVAUX 1970. FROIDEVAUX (Y.-M.), "L'action du Service des Monuments Historique dans la rénovation de Sarlat", Les monuments historiques de la France, 1970, n°2, p. 43-48 (Sarlat, " hôtel Plamon " : historique des travaux de restauration).

FROIDEVAUX et alii 1971. FROIDEVAUX (Y.-M.), VOINCHET (B.), ROBERT (M.) et BOLOT (D.), Périgueux. Secteur sauvegardé. Plan de sauvegarde, 1971(Périgueux, SDAP) (Plans de repérage des édifices avec indication des éléments des XIIe et XIIIe s.: plans 1 à 6; carte synthèse du développement du Puy Saint Front- plan 7: époque romane ; plan 19 : répertoire des caves, sans datation. Etude fondamentale, qui mérite cependant d'être révisée et complétée : certains édifices n'ont pas été repérés et quelques datations sont contestables. Par ailleurs, elle se borne à un inventaire, sans analyse architecturale).

FROIDEVAUX et alii. FROIDEVAUX (Y.-M), BOLOT (D), VOINCHET (B.), Périgueux, contribution à l'histoire de l'urbanisme, s.d., rapport dactylographié, 71 p., Périgueux : SDAP.

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GARRIGOU GRANDCHAMP 1994. GARRIGOU GRANDCHAMP (P.), " Le Grenier du chapitre de Saint-Front et la "maison des Dames de la Foi" à Périgueux ", BSHAP, t. CXXI, 1994, p. 193-222.

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GARRIGOU GRANDCHAMP 19952. GARRIGOU GRANDCHAMP (P.), " L'architecture civile romane en Périgord aux XIIe et XIIIe siècles ", Bulletin de la Société nationale des Antiquaires de France, 1995, p. 190-214.

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GARRIGOU GRANDCHAMP 19992. GARRIGOU GRANDCHAMP (P.), " L'architecture domestique des bastides périgourdines aux XIIIe et XIVe siècles ", CAF Périgord, 1998 (Paris, SFA, 1999), p. 47-72.

GARRIGOU GRANDCHAMP 19993. GARRIGOU GRANDCHAMP (P.), " L'hôtel Plamon à Sarlat. Une grande résidence urbaine du XIVe siècle ", CAF Périgord, 1998 (Paris, SFA, 1999), p. 321-342.

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LABORIE 1990. LABORIE (Y.), " Architecture de l'habitat privé des XIIIe et XIVe siècles en milieu urbain: l'exemple d'un ostal à tour, îlot Fonbalquine, à Bergerac (Dordogne) ", Sites défensifs et sites fortifiés au Moyen Age entre Loire et Pyrénées, Aquitania. Supplément 4, 1990, p. 75-92 (remarquable restitution d’un ostal patricien, fondé sur des fouilles ; la monographie s’élargit sur l’architecture des oustaux patriciens à Bergerac au XIIIe s.).

LABORIE 1996. LABORIE (Y.), " Archéologie de la période romane. Situation de la recherche en Périgord ", in Le Périgord roman, 1. La perception de l’espace: Reflets du Périgord, numéro hors série, Montignac, 1996, p. 45-60 (maisons fouillées à Auberoche, commune du Change, et à Bergerac).

LAFON 1940. LAFON (Dr. Ch.), " Notes sur le "Vray pourtraict de la ville de Périgueux" et ses reproductions ", BSHAP, t. LXVII, 1940, p. 123-129.

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LAFON et alii 1965. LAFON (Dr. Ch.), LAVERGNE (G.), SECONDAT (M.) et SECRET (J.), Périgueux d’hier, Périgueux : P. Fanlac, 1965 (recueil de documents figurés anciens).

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LARTIGAUT 1986. LARTIGAUT (J.), " Le castrum de Comarque au Moyen-Age ", Châteaux et sociétés du XIVe au XVIe siècles, Actes des premières rencontres internationales d'archéologie et d'histoire de Comarque, 1986, p. 149-174.

LAURET et alii 1988. LAURET (A.), MALEBRANCHE (R.) et SERAPHIN (G.), Bastides. Villes nouvelles du Moyen Age, Toulouse: Milan, 1988 (ouvrage fondamental; traite de tous les aspects concernant l’urbanisme et l’architecture).

LAVERGNE 1927. LAVERGNE (G.), " Le château de Bourdeilles ", CAF Périgord, 1927, p. 217-337.

MOURCIN 1826. Voir à TAILLEFER.

PARKER 1853. PARKER (J.H.), Some account of domestic architecture in England from Edward I to Richard II, Oxford, 1853 et 1882 (2e éd.), p 155 et 2 pl. (Monpazier: plan idéalisé; vue de maisons d’un angle de la place).

PONCEAU 1967. PONCEAU (M. et G.), " La maison de la Barrière ", BSHAP, t. XCIV, 1967, p. 261-265 (courte monographie, avec axonométrie).

PONCEAU 1969. PONCEAU (M. et G.), " Les caves de la place de la Claûtre et des environs de Saint-Front à Périgueux ", BSHAP, 1969, t. XCVI, p. 135-148 (inventaire et plans).

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ROUX 1920. ROUX (J), La basilique Saint Front de Périgueux. Ses origines et son histoire jusqu'en 1583, Périgueux, 1920.

SECONDAT 1933. SECONDAT (M.), " Le vieux bourg et le château de Plazac ", Le Périgord Illustré, 1933, p. 19-22.

SECONDAT 1987. SECONDAT (M.), " L’église romane de Plazac ", BSHAP, t. CXIV, 1987, p. 145-170 (notes sur le palais de l’évêque de Périgueux).

SECRET 1958. SECRET (J.), " Notes sur les contreforts romans percés de baies ", BSHAP, t. LXXXV, 1958, p. 88-90.

SECRET 1968. SECRET (J.), " Le château d’Agonac ", BSHAP, t. XCV, 1968, p. 200-205 (monographie avec plan et coupe).

SECRET 1988. SECRET (J.), Vieilles demeures de Périgueux, Périgueux, 1988 (l'ouvrage signale de très nombreux vestiges, souligne l'importance des maisons " du Vigier " et des " Dames de la Foi ", et localise précisément le "Grenier du chapitre ").

SERAPHIN 1988. Voir LAURET et alii.

SERAPHIN 1989. SERAPHIN (G.), Terrasson, Etude préalable à l'établissement d'une ZPPAUP, Périgueux: SDAP, 1989.

SERAPHIN 1992. SERAPHIN (G.), Belvès, Etude préalable à l'établissement d'une ZPPAUP, Périgueux: SDAP, 1992.

SERAPHIN 1995. SERAPHIN (G.), Le castrum de Comarque, Diplôme d’Etudes Approfondies, 2 vol., Université de Toulouse-Le Mirail, 1995 (étude fondamentale, sous l’angle de la méthode et des résultats).

SERAPHIN, 1996. SERAPHIN (G.), " Les tours féodales du Périgord roman ", in Le Périgord roman, 1. La perception de l’espace: Reflets du Périgord, numéro hors série, Montignac, 1996, p.101-121 (Belvès, Bigaroque, Plazac, Salignac).

SERAPHIN 1999. SERAPHIN (G.), " Le castrum de Comarque ", CAF Périgord, 1998 (Paris, SFA, 1999), p. 161-193 (monographie fouillée, complétant l’étude de 1995).

SERAPHIN et REMY 1999. SERAPHIN (G.) et REMY (Ch.), " Le château d’Excideuil ", CAF Périgord, 1998 (Paris, SFA, 1999), p. 195-223 (monographie fondamentale).

TAILLEFER 1826. TAILLEFER (Wilgrim de), Antiquités de Vésone, t. 2, 1826, p. 605-611 (les descriptions, dues à monsieur de MOURCIN, sont la source la plus ancienne; elle est précieuse, car elle s'avère souvent très précise et indique de nombreux édifices maintenant détruits; l'ouvrage est fondamental pour la connaissance du " Grenier du chapitre ").

TESTUT 1920. TESTUT (L.), La bastide de Beaumont-du-Périgord (1272-1789). Etude historique et archéologique, 2 vol., Bordeaux, 1920 (ouvrage important, donnant l’état de nombreux édifices au début du XXe s., et riche d’illustrations d’une précision satisfaisante).

TURNER 1851. TURNER (T.H.), Some account of domestic architecture in England from the Conquest to the end of the thirteenth century, Oxford et Londres, 1851 et 1877 (2e éd.) (p. 272-273 : Périgueux – maison 4-6, rue des Farges, avec détail d’une fenêtre).

VERDIER et CATTOIS 1858. VERDIER (A.) et CATTOIS (F.), Architecture civile et domestique au Moyen Age et à la Renaissance, t. 2, Paris, 1858 (Monpazier, Sarlat).

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VERNEILH 1847. VERNEILH (F. de), " Architecture civile au Moyen Age dans le Périgord et le Limousin aux XIIe et XIIIe siècles ", Annales archéologiques, t. VI, 1847, p. 71-88 (Monpazier et accessoirement Beaumont et Molières).

VERNEILH 1851. VERNEILH (F. de), L'architecture byzantine en France, 1851 (description du " Grenier de Saint Front ", p. 110-111).

VERNEILH 1878. VERNEILH (baron J. de), " Maison du XIIe siècle à Brantôme ", Congrès scientifique de France, 1876 (1878), p. 329-330 et pl. h. t. en fin de volume (dessin de F. de VERNEILH).

VERNEILH 1890. VERNEILH (baron J. de), " Encore Brantôme et ses monuments", BSHAP, t. XVII, 1890, p. 214-219 (maison du XIVe s. rue Joussen : dessin de F. de VERNEILH).

VERNEILH 1891. VERNEILH (J. de), " Causeries archéologiques. Sarlat et ses vieilles maisons ", BSHAP, t. XVIII, 1891, p. 278-285 et 2 pl. (dessins de " l’hôtel Plamon ").

VIGIE 1901. VIGIE (M.), " Histoire de la châtellenie de Belvès ", BSHAP, t. XXVIII, 1901, p. 85-96.

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VIGIE 1917. VIGIE (M.), " Travaux d’édilité à Belvès ", BSHAP, t. XLIV, 1917, p. 253-258, pl. h.t.

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WOOD 1981. WOOD (M.), The English Medieval House, Londres, 1965 (rééd. 1981) (Périgueux, maison 4-6, rue des Farges, d’après Verneilh).

 


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