Société Archéologique  du Midi de la France
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Gratien LEBLANC (1904-1993)

président de la S.A.M.F. (1988-1990)
separateur
Gratien LEBLANC

1904-1993

président de la Société Archéologique du Midi de la France (1988-1990)

 

 

Éloge prononcé par Henri Pradalier lors de la séance publique du 16 avril 1994, publié dans le Bulletin de l’année académique 1993-1994, dans Mémoires de la Société archéologique du Midi de la France, t. LIV (1994), p. 176-177.

 

[...] C’est [...] le 21 décembre dernier qu’il nous a quittés, âgé de 89 ans. Grande figure toulousaine, connu de beaucoup d’entre nous, collègues, anciens élèves ou confrères d’Académies et de Sociétés Savantes, il s’est éteint, au seuil de l’hiver, dans sa maison de la rue Franc où il habitait depuis 1929.

Gratien Leblanc, qui allait devenir un des grands connaisseurs et des acharnés défenseurs de l’histoire et du patrimoine du Midi toulousain, était picard d’origine. En effet, quoique né en 1904 à Castres, du fait de l’affectation de son père dans cette ville, tous ses ancêtres paternels, jusqu’à son père, avaient vécu dans un périmètre restreint aux confins des départements de l’Oise et de la Somme et sa mère était de Saint-Quentin. Sa famille paternelle illustre bien l’évolution d’une famille de la petite et moyenne bourgeoisie, de ces familles qui firent la Révolution Française à la fin du XVIIIe et la révolution industrielle au XIXe siècle. On retrouve en effet un de ses ancêtres administrateur en l’An II du village de Libermont dans l’Oise, et tout au long du XIXe siècle des propriétaires terriens, officiers ministériels, négociants et industriels jusqu’à son père qui, après des études au Lycée d’Amiens puis à Janson de Sailly, fit une carrière d’ingénieur après avoir été élève de l’École Nationale des Ponts et Chaussées et ingénieur des Constructions Civiles. Cet ingénieur entra à la Compagnie des Chemins de Fer du Midi et fut nommé Inspecteur et Ingénieur de la Voie à Toulouse. Il s’y fixa définitivement et son fils ne devait plus quitter cette ville et être adopté par celle-ci au point que bien peu auraient soupçonné à Gratien Leblanc des origines si lointaines.

Mais le jeune Gratien abandonna la voie de ses ancêtres, celle du commerce et de l’industrie pour devenir professeur. C’est à Toulouse que de 1909 à 1922 il suit le cursus traditionnel des élèves aptes à obtenir le baccalauréat. Étudiant à la Faculté des Lettres de 1922 à 1928, il est attiré par l’histoire, la géographie et l’histoire de l’art. Diplômé d’histoire de l’art, agrégé d’histoire et de géographie, c’est en 1928 qu’il est nommé au lycée de Carcassonne. L’année suivante il épouse une toulousaine, Marie-Louise Sérié dont le père est maire de Tréziers dans l’Aude. Les attaches de Gratien Leblanc avec Toulouse et l’Aude sont désormais scellées et il va se consacrer à l’étude de la région tout en continuant sa carrière de professeur.

En 1936 il est muté au Lycée de Toulouse. De 1939 à 1949 il enseigne comme professeur dans la classe préparatoire à l’institut agronomique. De 1942 à 1949 il est professeur de classe préparatoire aux Écoles nationales d’Agriculture. En 1941 il prépare ses élèves à Saint-Cyr. Il sera un temps, en 1959, chargé de conférences en histoire de l’art à la Faculté des Lettres après la mort de Raymond Rey et en même temps que son ami Victor Allègre, ce qui vient compléter l’enseignement qu’il donne à l’École Régionale d’Architecture et à l’École des Beaux-Arts de Toulouse depuis 1950. Enfin, en 1961, couronnement de sa carrière, il est nommé professeur de première supérieure et de lettres supérieures au Lycée Pierre de Fermat. C’est là que beaucoup ont pu apprécier ses qualités de professeur, sa rigueur d’enseignant et son souci de transmettre cette technique bien française de la dissertation en trois parties qu’il exigeait de ses élèves et appliquait lui-même à chacun de ses cours. Ce parcours dans le service public fut couronné par l’attribution de la rosette d’Officier dans l’Ordre des Palmes Académiques et, en 1970, de la croix de Chevalier de la Légion d’Honneur.

Mais à côté de ce qui était son métier et le service de l’État, Gratien Leblanc développa une large activité dans le domaine associatif. Membre de nombreuses sociétés savantes régionales ou nationales il consacra la plus large place à son activité au sein des trois grandes associations toulousaines que sont Les Toulousains de Toulouse, dont il fut membre dès 1942, l’Académie des Sciences, dont il fut président de 1978 à 1980, et, bien sûr, notre Société, dont il fut membre correspondant en 1946, membre titulaire en 1949, Directeur de 1959 à 1988, Président de 1988 à 1990, et Président Honoraire depuis 1990, proclamé par acclamation au moment où ses ennuis de santé l’empêchèrent de présider aux séances.

Sa bibliographie est là pour témoigner de sa volonté de faire connaître l’histoire de l’art dans notre région. Ses recherches furent dirigées d’abord vers les abbayes cisterciennes du Midi de la France. Et il entreprit de s’intéresser en priorité à celles qui étaient les moins connues ou les plus ruinées, donc les plus difficiles à étudier, ou bien aux bâtiments secondaires de ces abbayes. C’est ainsi qu’il s’attacha à étudier l’Abbaye-Nouvelle près de Gourdon, les abbayes de Bonnefont, de Berdoues, de Goujon et les granges de Lassalle et de Fontcalvi. Il apporta dans ces travaux des éléments nouveaux et décisifs en particulier dans l’étude de la grange de Fontcalvi qui demeure un des modèles du genre.

Mais ses attaches audoises l’amenèrent à s’intéresser largement au patrimoine audois. La ville de Mirepoix fit de sa part l’objet de trois articles parus dans nos Mémoires, l’un en 1971 sur le labyrinthe de la cathédrale, l’autre sur la maison des consuls en 1973, le dernier sur l’histoire de la cathédrale en 1974. La revue Historiens et Géographes accueillit en 1972 une magistrale étude sur la cathédrale d’Alet qu’il reprit en 1973 à l’occasion du Congrès Archéologique de France tenu dans les Pays de l’Aude. Les vestiges de l’ancienne abbaye d’Alet, l’église Saint-André d’Alet et la bastide de Mirepoix firent l’objet de sa part dans ce même congrès de complètes et solides notices dont il était coutumier. Des études sur les châteaux de Ferrals, Couiza et Lagarde, parues ailleurs, vinrent compléter cette anthologie sur l’art dans le département de l’Aude.

Toulousain, il était normal qu’il s’intéressât au patrimoine de notre cité. Les résumés des visites qu’il faisait pour les Toulousains de Toulouse, les articles publiés dans l’Auta, sont là pour montrer son intérêt pour Toulouse. Mais ce sont deux travaux majeurs qui sont à remarquer tout particulièrement : son livre La vie à Toulouse il y a cinquante ans, édité en 1976 par les éditions Privat, dans lequel il fait revivre par la plume et l’illustration la Toulouse des années vingt, son grand article de 118 pages consacré à l’enceinte du faubourg Saint-Cyprien, publié par notre Société en 1985, et qui aboutit à la protection des quatre tours de ce rempart.

Mais c’est son engagement dans la défense et la protection du patrimoine toulousain qui révèle le caractère de Gratien Leblanc. Dès 1926, à l’âge de 22 ans il s’engage dans le combat pour la défense du Pont Neuf et l’Hôtel-Dieu, signe précurseur d’interventions ultérieures. Parmi celles-ci, citons tout particulièrement la défense des remparts du faubourg Saint-Cyprien et les sollicitations couronnées de succès pour la restauration des façades de l’Hôtel Dumay. A côté de ces réussites il faut bien compter les interventions qui n’aboutirent pas. C’est dans celles-ci que se révèle toute la pugnacité de Gratien Leblanc. Ainsi lors des travaux d’aménagement de l’ancien Hôpital Larrey qui aboutirent au déplorable résultat que nous pouvons constater tous les jours, il allait sur le chantier, à 83 ans, malgré les chefs de chantier, les ouvriers qui le rejetaient parfois brutalement. Il écrivit des lettres aux autorités qui souvent ne reçurent pas de réponses. Il obtint cependant, avec d’autres, que les bâtiments des religieuses de Notre-Dame du Sac soient conservés. En 1987, à l’occasion du creusement de la station de métro du Capitole, il attira l’attention des autorités sur les risques de destruction d’une tour et d’un fragment de l’enceinte romaine du square du Capitole. Enfin il s’engagea dans la défense de Saint-Sernin contre le projet de dérestauration et fit partie de ceux que la défiguration du monument affecta profondément.

Lui ayant succédé à la présidence de notre Société, j’allais le tenir au courant de ce qui se passait dans les séances de la Société Archéologique que sa surdité croissante l’empêchait de suivre. Cela me donnait le plaisir de discuter avec lui au 14 de la Rue Franc, et il racontait alors volontiers des souvenirs ou des anecdotes sur sa carrière ou sur tel ou tel, avec toujours un reflet de malice dans l’œil et un humour qui pouvait être particulièrement caustique. Alors perçait une autre facette du caractère de Gratien Leblanc : la lucidité sans complaisance sur les autres et lui-même. C’est cette image que nous gardons de lui et que rend parfaitement le portrait photographique que conserve de lui la Société Archéologique : un lutteur, un chercheur, au visage éclairé d’un regard perçant sur le monde mais n’excluant jamais la bonhomie. C’est cet homme que nous avons perdu, que Toulouse a perdu. »

 

Bibliographie de Gratien Leblanc,
établie par Jean Coppolani (mai 1998)

1. Le port de Toulouse, dans Annales de Géographie, t. XXXVIII (1929), p. 509-513 (extrait d’un mémoire de D.E.S. de Géographie resté inédit).
2. Au couvent des Jacobins, dans L’Auta, n° 166 (mars 1946), p. 45-46.
3. Une fresque romane à la cathédrale d’Alet, dans Bulletin de la Société des Professeurs d’Histoire et Géographie (1947).
4. La répartition géographique des abbayes cisterciennes du Sud-Ouest de la France, dans France méridionale et Pays ibériques, Mélanges offerts à Daniel Faucher, Toulouse, T. II, 1949, p. 583-608 (1 carte et 1 photo).
5. Excursion dans l’Ariège et dans l’Aude [Mirepoix, Lagarde, Fanjeaux, Saint-Papoul, Ferrals, Villelongue], dans L’Auta, n° 233 (août 1953), p. 108-112.
6. L’église de l’abbaye de moniales de Goujon (Gers), dans Mélanges de saint Bernard.- Dijon : 1954 ; p. 350-358.
7. La Grange Lasalle, étude historique et archéologique, dans Fédération des Sociétés Académiques et Savantes de Languedoc-Pyrénées-Gascogne, Xe Congrès, Montauban, 1954, p. 121-134 (1 plan, 2 photos).
8. Excursion en Bas-Quercy [Saint-Maffre, Bruniquel, Penne, Vaours], dans L’Auta, n° 250 (novembre 1955), p. 121-125.
9. Un grand livre de M. Maurice Bordes : d’Étigny et l’administration de l’Intendance d’Auch, dans L’Auta, n° 272 (mars 1958), p. 104-109.
10. Petite histoire de l’Art entre Garonne et Pyrénées centrales (extrait du guide Pyrénées centrales), 1958.
11. La grande cistercienne de Fontcalvi (Aude), dans Trentième congrès de la Fédération historique du Languedoc, 1958.
12. Excursion dans le Lauragais et les Corbières [Montferrand, Montmaur, Lagrasse, Fontfroide], dans L’Auta, n° 275 (juin 1958), p. 90-96, et n° 276 (août 1958), p. 104-109.
13. La tour romaine du Lycée Fermat. L’église Saint-Pierre des Cuisines et le grand cloître des Chartreux, dans L’Auta, n° 287 (janvier 1960), p. 12-16.
14. Notre confrère Rozès de Brousse, dans La Dépêche du Midi, novembre 1960.
15. L’Abbaye nouvelle près Gourdon (Lot), dans Mémoires de la Société Archéologique du Midi de la France, t. XXVI (1961), p. 49-75, 5 pl. h.t.
16. Histoire comptable et anecdotique de l’Académie des Jeux Floraux à la fin du XVIIIe siècle, dans Mémoires de l’Académie des Sciences, Inscriptions et Belles-lettres de Toulouse, 14e série, t. III (1962).
17. Compte rendu de M. Bordes, La Réforme municipale du Contrôleur général Laverdy et son application (1764-1771), dans L’Auta, n° 365 (novembre 1969), p. 171-172.
18. Le labyrinthe de la cathédrale de Mirepoix (Ariège), dans Mémoires de la Société Archéologique du Midi de la France, t. XXXVI (1971), p. 55-78, 2 fig., 7 pl. h.t.
19. Verfeil [compte rendu de visite], dans L’Auta, n° 381 (août 1971), p. 146-148.
20. Rapport pour la remise des prix de 1971, dans Mémoires de l’Académie des Sciences, Inscriptions et Belles-lettres de Toulouse, 15e série, t. III (1972), p. 221-229.
21. La « Maison des Consuls » de Mirepoix (Ariège), dans Mémoires de la Société Archéologique du Midi de la France, t. XXXVIII (1973), p. 93-124, 19 fig., 1 tableau h.t.
22. L’ancienne cathédrale d’Alet, dans Congrès archéologique de France. 1973. Pays de l’Aude, p. 254-290, plan, 11 fig.
23. Vestiges conservés de l’ancienne abbaye d’Alet, dans Congrès archéologique de France. 1973. Pays de l’Aude, p. 291—303, plan, 4 fig.
24. La « bastide » de Mirepoix, dans Congrès archéologique de France. 1973. Pays de l’Aude, p. 344-366, 2 fig., 1 pl.
25. L’église Saint-André d’Alet, dans Congrès archéologique de France. 1973. Pays de l’Aude, p. 304-316.
26. Histoire d’une cathédrale : Saint-Maurice de Mirepoix (Ariège), dans Mémoires de la Société Archéologique du Midi de la France, t. XXXIX (1974-75), p. 23-156, 23 fig.
27. L’abbaye cistercienne de Beaulieu [compte rendu de visite], dans L’Auta, n° 398 (août 1975), p. 179-189.
28. Compte rendu de Philippe Zalmen, La vicomté et les vicomtes de Lautrec entre les rois de France, d’Angleterre et les évêques de Cahors (XIIIe-XIVe siècles), dans L’Auta, n° 408 (janvier-février 1976), p. 253-255.
29. La vie quotidienne à Toulouse il y a cinquante ans [conférence], dans L’Auta, n° 419 (mars 1976), p. 82-90 et n° 420 (avril-mai 1976), p. 115-126.
30. Lautrec [compte rendu de visite], dans L’Auta, n° 405 (août 1976), p. 159-164.
31. La cathédrale Saint-Alain de Lavaur [compte rendu de visite], dans L’Auta, n° 406 (novembre 1976), p. 183-189.
32. Excursion dans les vallées de l’Hers vif et de l’Aude supérieure : églises de Vals, Mirepoix, Alet, dans L’Auta, n° 422 (octobre 1976), p. 188-195, n° 423 (novembre 1976), p. 219-228 et n° 424 (janvier 1977), p. 10-13.
33. Compte rendu de M. Bordes (et alii), Histoire de la Gascogne, dans L’Auta, n° 430 (septembre 1977), p. 214-216.
34. La vie à Toulouse il y a cinquante ans.- Toulouse : Privat, 1978 ; 204 p., 16 pl. h.t., 15 fig.
35. Le petit paysan et ses 60 000 pièces d’argent : aux origines du médailler de l’Académie, dans Mémoires de l’Académie des Sciences, Inscriptions et Belles-lettres de Toulouse, 16e série, t. I (1980), p. 21-39.
36. Éloge du professeur Georges Régis (1906-1979), dans Mémoires de l’Académie des Sciences, Inscriptions et Belles-lettres de Toulouse, 16e série, t. I (1980), p. 41-44.
37. Sur quelques contrats de mariage ariégeois du milieu du XVIIIe siècle, dans Mémoires de l’Académie des Sciences, Inscriptions et Belles-lettres de Toulouse, 16e série, t. I (1980), p. 143-149.
38. Allocution pour la réception de M. Louis Leprince-Ringuet, dans Mémoires de l’Académie des Sciences, Inscriptions et Belles-lettres de Toulouse, 16e série, t. I (1980), p. 193-201.
39. Compte rendu de M. Bordes, Histoire d’Auch et du Pays d’Auch, dans L’Auta, n° 460 (octobre 1980), p. 233-235.
40. Le professeur Léon Dutil, académicien, dans Mémoires de l’Académie des Sciences, Inscriptions et Belles-lettres de Toulouse, 16e série, t. II (1981), p. 21-30.
41. Compte rendu de J. Godechot, Regards sur l’époque révolutionnaire, dans L’Auta, n° 464 (février 1981), p. 45-47.
42. Excursion dans la vallée de la Lèze, dans L’Auta, n° 468 (juin 1981, p. 181-182.
43. Toulouse, les remparts de Saint-Cyprien, dans Mémoires de la Société Archéologique du Midi de la France, t. XLV (1983-84), p.19-137, 28 fig. et pl.
44. Éloge de Maître de Gorsse, dans Mémoires de l’Académie des Sciences, Inscriptions et Belles-lettres de Toulouse, 16e série, t. V (1984), p. 31-36.
45. Éloge de Pierre de Gorsse, dans L’Auta, n° 498 (septembre 1984), p. 195-211.
46. Exposition des Toulousains de Toulouse et Amis du Vieux Toulouse, dans L’Auta, n° 499 (octobre 1984), p. 240-243.
47. Sauvegarder les remparts de Saint-Cyprien, dans L’Auta, n° 511 (décembre 1985), p. 291-295.
48. Au sujet des digues de protection contre les crues de la Garonne, dans L’Auta, n° 523 (février 1987), p. 35-37.
49. Compte rendu de M. Durliat, Saint-Sernin de Toulouse, dans L’Auta, n° 525 (avril 1987), p. 121-128.
50. Lettres patentes capétiennes pour la fondation de trois académies toulousaines (1694-1750), dans L’Auta, n° 528 (septembre 1987), p. 195-210.
51. La défense du Vieux Toulouse, dans L’Auta, n° 530 (novembre 1987), p. 259-263.
52. Aménagement de l’ancien hôpital militaire Larrey, dans L’Auta, n° 531 (décembre 1987), p. 291-295.
53. L’Évocation du Vieux Toulouse de Robert Mesuret, dans L’Auta, n° 532 (janvier 1988), p. 25-27.
54. Que veulent donc les Toulousains de Toulouse, dans L’Auta, n° 535 (avril 1988), p. 103-108.
55. Roger Camboulives (1906-1987), dans L’Auta, n° 540 (novembre 1988), p. 259-267.
56. Charles Higounet (1911-1988) [notice nécrologique], dans Revue de Comminges, t. CI (1988), p. 305-306.
57. Éloge de M. Roger Camboulives, dans Mémoires de l’Académie des Sciences, Inscriptions et Belles-lettres de Toulouse, 16e série, t. IX (1988), p. 69-72.
58. In memoriam : Michel Labrousse (1912-1988), Roger Camboulives (1906-1987), Charles Higounet (1911-1988), dans Mémoires de la Société Archéologique du Midi de la France, t. XLIX (1989), p. 1-5.
59. À la recherche des remparts du faubourg Saint-Cyprien, dans L’Auta, n° 543 (février 1989), p. 44-57.

 


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